Mobilité
A Toulouse, le Technocampus Hydrogène franchit une nouvelle étape
Le projet de Technocampus Hydrogène a reçu l'autorisation environnementale du préfet de la Haute-Garonne.
Prévue sur site de Francazal à Cugnaux, au sud de Toulouse, le projet ambitionne de devenir un centre névralgique pour l’innovation, la formation et le déploiement de l’hydrogène vert. Installé sur 10 000 m², il regroupera des acteurs majeurs comme Airbus, Liebherr-Aerospace, Safran et des start-up spécialisées. Il se concentrera principalement sur les applications de l’hydrogène dans les transports, notamment dans le secteur aéronautique.
La livraison du site est prévue en deux phases, à la fin de 2025 et à la mi-2026.
Un projet sous haute surveillance
Malgré les avancées, le projet avait suscité des réserves, notamment de la part du commissaire enquêteur, qui pointait une sous-évaluation des risques. Les zones proches de la route départementale RD 15, empruntée par 15 000 véhicules par jour, avaient été omises dans les études initiales. L'autorisation préfectorale impose désormais un suivi rigoureux, notamment via une commission locale d'information pour une durée minimale de cinq ans.
Prévue sur site de Francazal à Cugnaux, au sud de Toulouse, le projet ambitionne de devenir un centre névralgique pour l’innovation, la formation et le déploiement de l’hydrogène vert. Installé sur 10 000 m², il regroupera des acteurs majeurs comme Airbus, Liebherr-Aerospace, Safran et des start-up spécialisées. Il se concentrera principalement sur les applications de l’hydrogène dans les transports, notamment dans le secteur aéronautique.
La livraison du site est prévue en deux phases, à la fin de 2025 et à la mi-2026.
Un projet sous haute surveillance
Malgré les avancées, le projet avait suscité des réserves, notamment de la part du commissaire enquêteur, qui pointait une sous-évaluation des risques. Les zones proches de la route départementale RD 15, empruntée par 15 000 véhicules par jour, avaient été omises dans les études initiales. L'autorisation préfectorale impose désormais un suivi rigoureux, notamment via une commission locale d'information pour une durée minimale de cinq ans.
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