Electrolyseurs
Avec Alcal'Hylab, le CNRS et Michelin accélèrent la recherche sur l'hydrogène vert

Photo : Michelin
Michelin, le CNRS et plusieurs universités ont inauguré Alcal’Hylab, un laboratoire dédié au développement de technologies d’électrolyse de l’eau plus durables.
Le 14 mars dernier, Michelin, le CNRS, l’Université Grenoble Alpes, Grenoble INP - UGA et l’Université Savoie Mont Blanc ont officialisé la création d’Alcal’Hylab. Ce laboratoire commun de recherche, prévu pour durer quatre ans, vise à développer une technologie innovante de production d’hydrogène vert à partir d’eau.
Alcal’Hylab est le troisième laboratoire CNRS-Michelin consacré aux technologies hydrogène. L'un des axes majeurs de ses travaux consistera à développer une nouvelle génération d'électrolyse à membrane échangeuse d’anions (AEM) combinant les avantages des procédés alcalins à ceux à membres à échange de protons (PEM).
« Le groupe Michelin s'intéresse à l'hydrogène depuis plus de 20 ans, reconnaissant son potentiel pour la réduction des émissions de CO2 et la transition énergétique, dans la mobilité, mais également dans la décarbonisation de nombreux secteurs industriels. L’ouverture de ce nouveau laboratoire commun avec le CNRS, l’Université Grenoble Alpes, Grenoble INP - UGA et l’Université Savoie Mont Blanc, le troisième spécifiquement consacré à la recherche sur l’hydrogène, va venir renforcer notre expertise sur les procédés et matériaux qui permettront demain la décarbonation de sa production à grande échelle » a expliqué Christophe Moriceau, directeur de la recherche avancée du groupe Michelin.
Le 14 mars dernier, Michelin, le CNRS, l’Université Grenoble Alpes, Grenoble INP - UGA et l’Université Savoie Mont Blanc ont officialisé la création d’Alcal’Hylab. Ce laboratoire commun de recherche, prévu pour durer quatre ans, vise à développer une technologie innovante de production d’hydrogène vert à partir d’eau.
Alcal’Hylab est le troisième laboratoire CNRS-Michelin consacré aux technologies hydrogène. L'un des axes majeurs de ses travaux consistera à développer une nouvelle génération d'électrolyse à membrane échangeuse d’anions (AEM) combinant les avantages des procédés alcalins à ceux à membres à échange de protons (PEM).
« Le groupe Michelin s'intéresse à l'hydrogène depuis plus de 20 ans, reconnaissant son potentiel pour la réduction des émissions de CO2 et la transition énergétique, dans la mobilité, mais également dans la décarbonisation de nombreux secteurs industriels. L’ouverture de ce nouveau laboratoire commun avec le CNRS, l’Université Grenoble Alpes, Grenoble INP - UGA et l’Université Savoie Mont Blanc, le troisième spécifiquement consacré à la recherche sur l’hydrogène, va venir renforcer notre expertise sur les procédés et matériaux qui permettront demain la décarbonation de sa production à grande échelle » a expliqué Christophe Moriceau, directeur de la recherche avancée du groupe Michelin.
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