Dans une filière hydrogène encore en phase d’amorçage, les subventions sont essentielles pour permettre aux différents acteurs de monter en puissance. Entre les aides nationales et européennes, il n’est pas toujours évident de s’y retrouver. Réseau spécialisé dans la recherche de financements, 3E Services propose un accompagnement complet, de l’identification des aides jusqu’au montage et suivi des dossiers. Une démarche que nous explique Olivier L'HÔTE, consultant en aides financières publiques et privées.
Quel est le rôle de 3E Services ?
Olivier L'HÔTE : Notre rôle est de faire de la recherche de subventions et d'aides d’Etat et d’assurer le montage des dossiers. Nous ne sommes pas uniquement centrés sur l’hydrogène et pouvons intervenir dans tous les domaines.
Nous assurons une veille avec les structures avec lesquelles on travaille. Celle-ci est très importante car beaucoup de subventions se font par appel à projets. Chaque fois qu’un de nos clients a un investissement ou un développement à faire, il nous contacte pour savoir s'il y a une subvention, ou non, pour son projet.
En matière de modèle économique, comment fonctionne votre entité ?
Nous fonctionnons avec un premier coût forfaitaire unique à payer au début de la mission. Ensuite, on se rémunère au pourcentage sur le montant de la subvention touchée en fonction de la complexité du dossier et de la somme obtenue.
Avant de signer avec un prospect, on réalise ce que l’on appelle une analyse flash qui est gratuite. C'est un questionnaire de deux pages qui va nous permettre de pouvoir faire des recherches. En fonction des subventions, il y a une notion de caractère éligible. On doit connaitre la taille de la structure, son code NAF etc... Ce questionnaire va nous permettre d'avoir une base de travail pour chercher les subventions qui pourraient intéresser la structure.
Nous cherchons à réaliser des accompagnements sur le long terme. On ne veut pas d'arriver dans une structure pour faire juste un coup et s'en aller. En général, le premier dossier est le plus long à mettre en place. S’il y a un deuxième dossier à monter, nous irons beaucoup plus vite. D’où l’intérêt de cette relation sur la durée.
Aujourd’hui, est-il possible de dresser un panorama des aides possibles pour l’hydrogène ?
Il est difficile de lister toutes les aides car ce serait trop indigeste. D’autant que certains projets hydrogène peuvent trouver des subventions dans des domaines connexes comme celui de l’innovation. De plus les trois quarts des subventions se font pas appel à projets et ne sortent pas toutes au même moment.
Aujourd’hui, nous travaillons avec une dizaine de clients sur l’hydrogène. Chaque dossier est spécifique. Les subventions que nous trouvons pour l’un ne vont pas forcément aller à l’autre. Nous avons des clients qui travaillent dans l’innovation, d’autres dans les moteurs à combustion ou les stations hydrogène. Pour l’administration, ce sont des choses très différentes.
Il y a donc une véritable mission de conseil ?
Oui. Notre rôle est vraiment d’associer les bonnes subventions aux bons projets, mais aussi de tenir compte des contraintes. Certaines subventions ne sont pas cumulables, d’autres peuvent mettre du temps à arriver… Notre premier travail va donc consister à discuter avec le client et présenter les différentes aides possibles pour un projet donné tout en identifiant les risques d’opter pour une aide plutôt qu’une autre. Au final, c'est une vraie stratégie qui est définie.
Une fois l’aide identifiée, on va monter le dossier avec le client. Nous allons prendre en charge une bonne partie rédactionnelle, mais le travail est toujours réalisé à deux. Nous sommes techniciens sur ce que l’on fait, mais pas ingénieur pour entrer dans les détails techniques d’un projet.
Nous assurons également toute phase de discussion avec l'administration. Lorsque l’on trouve une subvention, la première chose que nous faisons est de passer un coup de fil à l'administration. C'est bien beau de monter un dossier, mais si on le dépose et qu'il n'y a plus d'argent, cela ne sert à rien !
Une fois le dossier validé par l’administration, l’accompagnement continue ?
Effectivement. Une fois que le dossier a été déposé et que le client a obtenu le courrier de l'administration validant la subvention, on poursuit notre travail. Il va falloir monter un petit dossier de contrôle pour montrer que les investissements prévus ont bien été réalisés. C’est un dossier que nous montons également à partir des éléments envoyés par le client et que nous renvoyons à l’administration pour obtenir le paiement de la subvention.
3E Services se présente comme un réseau. Vous avez des connexions un peu partout en Europe ?
On travaille avec beaucoup d'apporteurs d'affaires. Avec l’expérience, on a cultivé un certain relationnel avec l'administration. Il est plus facile pour nous d'aller dans certaines administrations que pour un client qui ne les connaît pas.
On sait aussi faire fonctionner notre réseau pour faire avancer certains projets. Par exemple, s’il manque un ou plusieurs partenaires pour constituer un consortium, nous pouvons solliciter notre réseau.
Quel est le rôle de 3E Services ?
Olivier L'HÔTE : Notre rôle est de faire de la recherche de subventions et d'aides d’Etat et d’assurer le montage des dossiers. Nous ne sommes pas uniquement centrés sur l’hydrogène et pouvons intervenir dans tous les domaines.
Nous assurons une veille avec les structures avec lesquelles on travaille. Celle-ci est très importante car beaucoup de subventions se font par appel à projets. Chaque fois qu’un de nos clients a un investissement ou un développement à faire, il nous contacte pour savoir s'il y a une subvention, ou non, pour son projet.
En matière de modèle économique, comment fonctionne votre entité ?
Nous fonctionnons avec un premier coût forfaitaire unique à payer au début de la mission. Ensuite, on se rémunère au pourcentage sur le montant de la subvention touchée en fonction de la complexité du dossier et de la somme obtenue.
Avant de signer avec un prospect, on réalise ce que l’on appelle une analyse flash qui est gratuite. C'est un questionnaire de deux pages qui va nous permettre de pouvoir faire des recherches. En fonction des subventions, il y a une notion de caractère éligible. On doit connaitre la taille de la structure, son code NAF etc... Ce questionnaire va nous permettre d'avoir une base de travail pour chercher les subventions qui pourraient intéresser la structure.
Nous cherchons à réaliser des accompagnements sur le long terme. On ne veut pas d'arriver dans une structure pour faire juste un coup et s'en aller. En général, le premier dossier est le plus long à mettre en place. S’il y a un deuxième dossier à monter, nous irons beaucoup plus vite. D’où l’intérêt de cette relation sur la durée.
Aujourd’hui, est-il possible de dresser un panorama des aides possibles pour l’hydrogène ?
Il est difficile de lister toutes les aides car ce serait trop indigeste. D’autant que certains projets hydrogène peuvent trouver des subventions dans des domaines connexes comme celui de l’innovation. De plus les trois quarts des subventions se font pas appel à projets et ne sortent pas toutes au même moment.
Aujourd’hui, nous travaillons avec une dizaine de clients sur l’hydrogène. Chaque dossier est spécifique. Les subventions que nous trouvons pour l’un ne vont pas forcément aller à l’autre. Nous avons des clients qui travaillent dans l’innovation, d’autres dans les moteurs à combustion ou les stations hydrogène. Pour l’administration, ce sont des choses très différentes.
Il y a donc une véritable mission de conseil ?
Oui. Notre rôle est vraiment d’associer les bonnes subventions aux bons projets, mais aussi de tenir compte des contraintes. Certaines subventions ne sont pas cumulables, d’autres peuvent mettre du temps à arriver… Notre premier travail va donc consister à discuter avec le client et présenter les différentes aides possibles pour un projet donné tout en identifiant les risques d’opter pour une aide plutôt qu’une autre. Au final, c'est une vraie stratégie qui est définie.
Une fois l’aide identifiée, on va monter le dossier avec le client. Nous allons prendre en charge une bonne partie rédactionnelle, mais le travail est toujours réalisé à deux. Nous sommes techniciens sur ce que l’on fait, mais pas ingénieur pour entrer dans les détails techniques d’un projet.
Nous assurons également toute phase de discussion avec l'administration. Lorsque l’on trouve une subvention, la première chose que nous faisons est de passer un coup de fil à l'administration. C'est bien beau de monter un dossier, mais si on le dépose et qu'il n'y a plus d'argent, cela ne sert à rien !
Une fois le dossier validé par l’administration, l’accompagnement continue ?
Effectivement. Une fois que le dossier a été déposé et que le client a obtenu le courrier de l'administration validant la subvention, on poursuit notre travail. Il va falloir monter un petit dossier de contrôle pour montrer que les investissements prévus ont bien été réalisés. C’est un dossier que nous montons également à partir des éléments envoyés par le client et que nous renvoyons à l’administration pour obtenir le paiement de la subvention.
3E Services se présente comme un réseau. Vous avez des connexions un peu partout en Europe ?
On travaille avec beaucoup d'apporteurs d'affaires. Avec l’expérience, on a cultivé un certain relationnel avec l'administration. Il est plus facile pour nous d'aller dans certaines administrations que pour un client qui ne les connaît pas.
On sait aussi faire fonctionner notre réseau pour faire avancer certains projets. Par exemple, s’il manque un ou plusieurs partenaires pour constituer un consortium, nous pouvons solliciter notre réseau.
Fort de plus de 30 années d’expérience, le réseau 3E Services apporte le soutien et l’accompagnement nécessaires à l’identification des dispositifs auxquelles vous êtes éligibles. 3E Services vous assiste dans le montage des dossiers de demande correspondants.
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