Energie
Hydrogène : avec leur Gigafactory, Air Liquide et Siemens changent d'échelle
En Allemagne, Air Liquide et Siemens Energy ont inauguré cette semaine la gigafactory d’électrolyseurs de leur entreprise commune.
Situé à Berlin, le nouveau site de production est spécialisé dans la production d’électrolyseurs à membrane échangeuse de protons. Installée sur une surface de 2000 m², l’usine combine l’expertise des deux groupes et recourt à une production robotique automatisée permettant de réduire les coûts de production.
La capacité de production annuelle de l’usine, actuellement d’un gigawatt, sera portée à trois gigawatts d’ici 2025.
« Ce partenariat stratégique bénéficiera d’un portefeuille de projets hydrogène d’Air Liquide et de Siemens Energy, en particulier ceux de grande envergure développés à travers le monde en collaboration avec leurs clients » résume le communiqué commun des deux entreprises.
En Europe, plusieurs projets sont déjà en cours comme Normand’Hy. Situé près de Saint-Jérôme, celui-ci vise à la mise en place d’un électrolyseur de 200 MW. S’y ajoutent le projet allemand Traiblazer (20 MW) mais aussi d’autres initiatives à l’étude en Suède et au Danemark dans lesquels l’hydrogène produit servira à la production de carburants de synthèse pour le transport maritime.
Situé à Berlin, le nouveau site de production est spécialisé dans la production d’électrolyseurs à membrane échangeuse de protons. Installée sur une surface de 2000 m², l’usine combine l’expertise des deux groupes et recourt à une production robotique automatisée permettant de réduire les coûts de production.
La capacité de production annuelle de l’usine, actuellement d’un gigawatt, sera portée à trois gigawatts d’ici 2025.
« Ce partenariat stratégique bénéficiera d’un portefeuille de projets hydrogène d’Air Liquide et de Siemens Energy, en particulier ceux de grande envergure développés à travers le monde en collaboration avec leurs clients » résume le communiqué commun des deux entreprises.
En Europe, plusieurs projets sont déjà en cours comme Normand’Hy. Situé près de Saint-Jérôme, celui-ci vise à la mise en place d’un électrolyseur de 200 MW. S’y ajoutent le projet allemand Traiblazer (20 MW) mais aussi d’autres initiatives à l’étude en Suède et au Danemark dans lesquels l’hydrogène produit servira à la production de carburants de synthèse pour le transport maritime.
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