Bus hydrogène
La Métropole Aix-Marseille-Provence teste un bus à hydrogène
Mis à jour le 06.11.2024 à 22:29

Source : Métropole Aix Marseille
A Fos-sur-Mer, la Métropole Aix-Marseille-Provence a lancé l’expérimentation d’un bus à hydrogène. Une première pour le territoire !
Ce bus, un Solaris Urbino 12 à hydrogène, a été mis en service le 21 octobre dernier. Il a circulé pendant dix jours en conditions réelles sur la ligne 4 du réseau Ulysse, s'approvisionnant en hydrogène auprès de la station Air Liquide de Fos Tonkin, réalisée dans le cadre du projet HyAMMED.
Cette initiative s’inscrit dans un objectif de décarbonation des transports publics métropolitains. D’ici à 2035, l’intégralité du parc de véhicules de la RTM fonctionnera à l’électricité ou au gaz naturel (GNV). En pratique, l’électrique ciblera les zones urbaines les plus denses tandis que le GNV sera dédié aux lignes interurbaines. En s’invitant dans l’équation, l’hydrogène pourrait couvrir de nouveaux besoins. « Avec une autonomie importante et un temps de recharge identique à celui d’un véhicule thermique, les bus à hydrogène constituent une solution pour la décarbonation du transport public » précise la Métropole.
Si le bilan de ces dix jours d’essai se révèle concluant, la Métropole prévoit d’investir dans l’acquisition de trois bus et trois autocars à hydrogène d’ici fin 2025. Ils viendront renforcer le réseau Ulysse, chargé de desservir la zone de l’étang de Berre.
Ce bus, un Solaris Urbino 12 à hydrogène, a été mis en service le 21 octobre dernier. Il a circulé pendant dix jours en conditions réelles sur la ligne 4 du réseau Ulysse, s'approvisionnant en hydrogène auprès de la station Air Liquide de Fos Tonkin, réalisée dans le cadre du projet HyAMMED.
Cette initiative s’inscrit dans un objectif de décarbonation des transports publics métropolitains. D’ici à 2035, l’intégralité du parc de véhicules de la RTM fonctionnera à l’électricité ou au gaz naturel (GNV). En pratique, l’électrique ciblera les zones urbaines les plus denses tandis que le GNV sera dédié aux lignes interurbaines. En s’invitant dans l’équation, l’hydrogène pourrait couvrir de nouveaux besoins. « Avec une autonomie importante et un temps de recharge identique à celui d’un véhicule thermique, les bus à hydrogène constituent une solution pour la décarbonation du transport public » précise la Métropole.
Si le bilan de ces dix jours d’essai se révèle concluant, la Métropole prévoit d’investir dans l’acquisition de trois bus et trois autocars à hydrogène d’ici fin 2025. Ils viendront renforcer le réseau Ulysse, chargé de desservir la zone de l’étang de Berre.