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Hydrogène : lsraël annonce son Masterplan

L’État hébreu vient d’approuver un projet de pipeline de 400 km destiné à soutenir la décarbonation de son industrie.
Le Conseil national de planification et de construction d’Israël a donné son feu vert à la construction d’un réseau d’hydrogène de 400 kilomètres. Ce projet, annoncé mardi par le ministère de l’Énergie et des Infrastructures, reliera la vallée de Jezreel, au nord, au village d’Eilot, près d’Eilat, au sud.
Le pipeline desservira plusieurs zones industrielles du pays. Il vise à remplacer les combustibles fossiles par de l’hydrogène. La planification du projet doit être achevée d'ici à la fin de l’année. Son financement reposera principalement sur des investissements privés.
Ce projet s’inscrit dans le cadre de la stratégie hydrogène d’Israël, présentée en 2023. Il s’agira également de mieux valoriser les excédents d’énergies renouvelables pour produire de l’hydrogène vert localement. Celui-ci pourra être injecté dans le réseau et distribué aux sites industriels.
« C’est une étape importante vers une économie à faibles émissions et indépendante », a souligné Nathan Elnatan, président du Conseil de planification.
Le Conseil national de planification et de construction d’Israël a donné son feu vert à la construction d’un réseau d’hydrogène de 400 kilomètres. Ce projet, annoncé mardi par le ministère de l’Énergie et des Infrastructures, reliera la vallée de Jezreel, au nord, au village d’Eilot, près d’Eilat, au sud.
Le pipeline desservira plusieurs zones industrielles du pays. Il vise à remplacer les combustibles fossiles par de l’hydrogène. La planification du projet doit être achevée d'ici à la fin de l’année. Son financement reposera principalement sur des investissements privés.
Ce projet s’inscrit dans le cadre de la stratégie hydrogène d’Israël, présentée en 2023. Il s’agira également de mieux valoriser les excédents d’énergies renouvelables pour produire de l’hydrogène vert localement. Celui-ci pourra être injecté dans le réseau et distribué aux sites industriels.
« C’est une étape importante vers une économie à faibles émissions et indépendante », a souligné Nathan Elnatan, président du Conseil de planification.