Réseaux
Injection d'hydrogène dans les réseaux de gaz : 20 % à compter de 2030
Mis à jour le 03.01.2022 à 09:36
Selon une étude réalisée par les principaux opérateurs d’infrastructures, le réseau gazier français pourrait être adapté pour acheminer un mélange contenant 20 % d’hydrogène à compter de 2030.
Publié ce vendredi 15 novembre, le rapport présenté par les principaux opérateurs gaziers français, dont GRTgaz, GRDF et Elengy confirme qu’il est possible d’intégrer « un volume significatif » d’hydrogène dans le mix gazier d’ici 2050 tout en conservant des coûts maitrisés en matière d’adaptation des infrastructures.
Selon les auteurs du rapport, une part de 6 % d’hydrogène pourrait être atteinte à court terme avec « très peu d’adaptations » sur les infrastructures existantes. Un nouveau mix qui serait compatible avec la plupart des installations des consommateurs. « Un exercice de pré-identification des zones propices à l’injection d’hydrogène en mélange sera initié à destination des porteurs de projets d’injection » note le rapport qui recommande de fixer une « capacité cible » d’intégration d’hydrogène de 10 % pour 2030 et de 20 % au-delà. Un délai qui permettra de mieux anticiper l’adaptation des équipements à des taux d’hydrogène plus élevés.
A l’échelle européenne, la France n’est pas la seule à s’intéresser à l’injection d’hydrogène dans les réseaux. D’autres pays comme l’ Allemagne travaillent également sur le sujet.
En savoir plus :
Publié ce vendredi 15 novembre, le rapport présenté par les principaux opérateurs gaziers français, dont GRTgaz, GRDF et Elengy confirme qu’il est possible d’intégrer « un volume significatif » d’hydrogène dans le mix gazier d’ici 2050 tout en conservant des coûts maitrisés en matière d’adaptation des infrastructures.
Selon les auteurs du rapport, une part de 6 % d’hydrogène pourrait être atteinte à court terme avec « très peu d’adaptations » sur les infrastructures existantes. Un nouveau mix qui serait compatible avec la plupart des installations des consommateurs. « Un exercice de pré-identification des zones propices à l’injection d’hydrogène en mélange sera initié à destination des porteurs de projets d’injection » note le rapport qui recommande de fixer une « capacité cible » d’intégration d’hydrogène de 10 % pour 2030 et de 20 % au-delà. Un délai qui permettra de mieux anticiper l’adaptation des équipements à des taux d’hydrogène plus élevés.
Actions prioritaires
En plus d’évaluer les capacités des réseaux gaziers, les opérateurs ont également listé dix actions prioritaires à mettre en œuvre pour accélérer l’intégration de l’hydrogène dans les réseaux. Parmi les propositions figurent l’identification de zones propices à l’injection ou encore la définition d’un cadre réglementaire favorable pour la mise en œuvre d’expérimentations pour mieux préparer la filière.A l’échelle européenne, la France n’est pas la seule à s’intéresser à l’injection d’hydrogène dans les réseaux. D’autres pays comme l’ Allemagne travaillent également sur le sujet.
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