Competition
Les 24 Heures du Mans s'ouvrent au moteur à hydrogène
Alors qu’elle célèbrera le mois prochain sa 100e édition, la mythique épreuve des 24 Heures du Mans poursuit ses travaux autour de l’introduction d’une future catégorie dédiée aux véhicules hydrogène, prévue pour 2026. Moteur à combustion interne ou pile à combustible, les constructeurs auront le choix entre deux technologies…
L’hydrogène continue de nourrir les réflexions de l’Automobile Club de l'Ouest (ACO). Déjà engagé dans le développement de la pile à combustible dans le cadre du programme MissionH24, mené en collaboration avec GreenGT, le club organisateur des 24 Heures du Mans ouvre un peu plus l’éventail technologique de sa futurecatégorie hydrogène, attendue en 2026. Au final, les constructeurs souhaitant s’y engager auront le choix entre deux technologies : la pile à combustible ou le moteur à combustion à hydrogène.
« Depuis 2018, l'écosystème hydrogène a énormément évolué. Aujourd'hui, le moteur hydrogène se présente aussi comme une possibilité pour les constructeurs. Le règlement des 24 Heures du Mans a toujours prôné la liberté et la variété. À ce titre, nous annonçons donc officiellement que les deux technologies, pile à combustible et moteur à combustion hydrogène, seront acceptées et autorisées pour les constructeurs souhaitant s'engager aux 24 Heures du Mans en catégorie Hydrogène » a justifié Pierre Fillon, président de l'ACO.
C’est notamment le cas de Toyota, qui présentera pour la première fois cette année au Mans sa Corolla GR H2, d’Alpine qui, avec le concept Alpenglow, affiche clairement ses ambitions d’engager le moteur à combustion hydrogène en endurance, mais aussi de Ligier qui, associé à Bosch, présentera un premier prototype le 8 juin prochain.
L’hydrogène continue de nourrir les réflexions de l’Automobile Club de l'Ouest (ACO). Déjà engagé dans le développement de la pile à combustible dans le cadre du programme MissionH24, mené en collaboration avec GreenGT, le club organisateur des 24 Heures du Mans ouvre un peu plus l’éventail technologique de sa futurecatégorie hydrogène, attendue en 2026. Au final, les constructeurs souhaitant s’y engager auront le choix entre deux technologies : la pile à combustible ou le moteur à combustion à hydrogène.
« Depuis 2018, l'écosystème hydrogène a énormément évolué. Aujourd'hui, le moteur hydrogène se présente aussi comme une possibilité pour les constructeurs. Le règlement des 24 Heures du Mans a toujours prôné la liberté et la variété. À ce titre, nous annonçons donc officiellement que les deux technologies, pile à combustible et moteur à combustion hydrogène, seront acceptées et autorisées pour les constructeurs souhaitant s'engager aux 24 Heures du Mans en catégorie Hydrogène » a justifié Pierre Fillon, président de l'ACO.
Equipée d'une pile à combustible hydrogène, la MissionH24 est expérimentée depuis 2018
Une ouverture stratégique
Cette ouverture des 24 Heures du Mans au moteur à combustion hydrogène n’est pas surprenante. Elle permettra à l’ACO d’accueillir les différents constructeurs qui travaillent sur la technologieC’est notamment le cas de Toyota, qui présentera pour la première fois cette année au Mans sa Corolla GR H2, d’Alpine qui, avec le concept Alpenglow, affiche clairement ses ambitions d’engager le moteur à combustion hydrogène en endurance, mais aussi de Ligier qui, associé à Bosch, présentera un premier prototype le 8 juin prochain.
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