Présenté lors de la première édition d’Hyvolution Canada, le dernier état des lieux de l’Observatoire H2 confirme la maturation progressive de la filière hydrogène au Canada.
Lancé par SIA Partners, l’Observatoire de l’hydrogène au Canada propose une lecture transversale de l’ensemble des projets hydrogène annoncés publiquement à travers le pays. Après une première édition publiée en novembre 2024, l’initiative s’est inscrite dans une logique de suivi et d’analyse régulière.
« C’est un exercice assez laborieux qui consiste à suivre l’avancée des projets afin de sortir certains indicateurs globaux en utilisant la même méthodologie d’une année sur l’autre » résume Myrielle Robitaille, en charge de l’observatoire.
La dernière actualisation des données, qui n’a pas encore fait l’objet d’un rapport officiel, a été présentée le 1er octobre dernier à l’occasion de la première édition de Hyvolution Canada, organisé à Trois-Rivières. Une manière de confronter les chiffres à la réalité du terrain, dans un secteur où l’information circule parfois de façon inégale. « Les mauvaises nouvelles voyagent plus rapidement que les projets » pointe la responsable de l’Observatoire.
Lancé par SIA Partners, l’Observatoire de l’hydrogène au Canada propose une lecture transversale de l’ensemble des projets hydrogène annoncés publiquement à travers le pays. Après une première édition publiée en novembre 2024, l’initiative s’est inscrite dans une logique de suivi et d’analyse régulière.
« C’est un exercice assez laborieux qui consiste à suivre l’avancée des projets afin de sortir certains indicateurs globaux en utilisant la même méthodologie d’une année sur l’autre » résume Myrielle Robitaille, en charge de l’observatoire.
La dernière actualisation des données, qui n’a pas encore fait l’objet d’un rapport officiel, a été présentée le 1er octobre dernier à l’occasion de la première édition de Hyvolution Canada, organisé à Trois-Rivières. Une manière de confronter les chiffres à la réalité du terrain, dans un secteur où l’information circule parfois de façon inégale. « Les mauvaises nouvelles voyagent plus rapidement que les projets » pointe la responsable de l’Observatoire.
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