Réservoirs et stockage
Stockage souterrain d'hydrogène : Storengy annonce les résultats de son AMI
Mis à jour le 17.04.2025 à 16:43

Le 11 avril dernier, à l’occasion d’un webinaire, Storengy a présenté les résultats d'une consultation menée auprès des acteurs de la filière hydrogène. Cet Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI), lancé fin 2024 en lien avec le développement de la future dorsale hydrogène européenne, visait à identifier les besoins en matière de stockage souterrain sur la partie française du corridor.
La consultation a permis de recueillir 26 réponses, provenant de 23 économiques impliqués dans la production ou l’utilisation d’hydrogène. Ces contributions couvrent 27 projets, concentrés dans trois grandes régions : Auvergne-Rhône-Alpes, Provence-Alpes-Côte d’Azur et Grand Est.
Plusieurs projets pilotes sont déjà en cours, notamment GeoH2 à Manosque et HyPSTER à Etrez, ainsi que trois demandes de permis exclusifs de recherche déposées dans la région Grand Est. En parallèle, les conditions d’accès aux infrastructures devront être clarifiées, tout comme les modèles économiques viables pour une mise en œuvre à grande échelle.
La consultation a permis de recueillir 26 réponses, provenant de 23 économiques impliqués dans la production ou l’utilisation d’hydrogène. Ces contributions couvrent 27 projets, concentrés dans trois grandes régions : Auvergne-Rhône-Alpes, Provence-Alpes-Côte d’Azur et Grand Est.
Sécurité d’approvisionnement et réactivité au cœur des attentes
Les résultats de l’AMI mettent en évidence deux grandes priorités partagées par les acteurs du secteur. D’une part, la sécurité d’approvisionnement est apparue comme un critère central. D’autre part, les porteurs de projets recherchent des solutions de stockage capables de réagir rapidement, capables de s’adapter aux variations de la demande et de la production. Du point de vue économique, les attentes exprimées en matière de coûts sont alignées avec les études technico-économiques actuellement en cours.Vers des projets concrets et localisés
Fort de ces enseignements, Storengy se dit prêt à engager une nouvelle phase de discussions avec les industriels et partenaires publics. L’objectif est d’approfondir l’analyse des besoins, en tenant compte des spécificités régionales et des usages envisagés.Plusieurs projets pilotes sont déjà en cours, notamment GeoH2 à Manosque et HyPSTER à Etrez, ainsi que trois demandes de permis exclusifs de recherche déposées dans la région Grand Est. En parallèle, les conditions d’accès aux infrastructures devront être clarifiées, tout comme les modèles économiques viables pour une mise en œuvre à grande échelle.