Réseaux
Réseaux hydrogène : le premier corridor franco-belge se précise
GRTgaz et Fluxys confirment le succès de l’appel au marché dernier pour créer un réseau de transport d’hydrogène entre la France et la Belgique.
Au total, ce sont 17 entreprises qui ont répondu favorablement à l’initiative conjointe des deux gestionnaires de réseaux suite à un appel au marché lancé en juin dernier. Raccordées au réseau de transport, celles-ci cumulent une capacité de production allant de 300 MW à 600 MW et une consommation d’hydrogène variant entre 1,5 et 3 TWh/an selon les hypothèses envisagées.
« La typologie des répondants est variée avec des porteurs de projet de production par électrolyse de différentes tailles et des consommateurs industriels qui considèrent l’hydrogène comme un levier pour atteindre leurs objectifs de décarbonation. En complément des usages industriels, les usages dans la mobilité pour alimenter des futures stations d’avitaillement, sont également envisagés par certains acteurs de l’écosystème » précise le communiqué commun des deux partenaires.
Sur cette base, Fluxys Belgium et GRTgaz ont décidé de lancer l’étude de faisabilité du réseau de transport d’hydrogène transfrontalier dès octobre 2022, qui aura pour objectifs d’établir le dimensionnement de l’infrastructure ainsi qu’une première évaluation du coût de celle-ci. Les résultats de cette étude de faisabilité seront dévoilés aux clients ayant investi dans cette opération au 1er trimestre 2023.
« Cet Appel à Manifestation d’Intérêt est un véritable. Cela nous conforte dans notre approche de développer des infrastructures de transport d’hydrogène mutualisées, ouvertes à tous dans une démarche de dialogue continu avec les acteurs du marché » a déclaré Thierry Trouvé, Directeur Général de GRTgaz.
Au total, ce sont 17 entreprises qui ont répondu favorablement à l’initiative conjointe des deux gestionnaires de réseaux suite à un appel au marché lancé en juin dernier. Raccordées au réseau de transport, celles-ci cumulent une capacité de production allant de 300 MW à 600 MW et une consommation d’hydrogène variant entre 1,5 et 3 TWh/an selon les hypothèses envisagées.
« La typologie des répondants est variée avec des porteurs de projet de production par électrolyse de différentes tailles et des consommateurs industriels qui considèrent l’hydrogène comme un levier pour atteindre leurs objectifs de décarbonation. En complément des usages industriels, les usages dans la mobilité pour alimenter des futures stations d’avitaillement, sont également envisagés par certains acteurs de l’écosystème » précise le communiqué commun des deux partenaires.
Une étude de faisabilité pour prochaine étape
Maintenant que l’intérêt du marché est confirmé, Fluxys Belgium et GRTgaz vont lancer une première étude de faisabilité. Celle-ci aura pour objectif de dimensionner l’infrastructure et d’établir une première évaluation sur les coûts. Les résultats sont attendus dans le courant du premier trimestre 2023.Sur cette base, Fluxys Belgium et GRTgaz ont décidé de lancer l’étude de faisabilité du réseau de transport d’hydrogène transfrontalier dès octobre 2022, qui aura pour objectifs d’établir le dimensionnement de l’infrastructure ainsi qu’une première évaluation du coût de celle-ci. Les résultats de cette étude de faisabilité seront dévoilés aux clients ayant investi dans cette opération au 1er trimestre 2023.
« Cet Appel à Manifestation d’Intérêt est un véritable. Cela nous conforte dans notre approche de développer des infrastructures de transport d’hydrogène mutualisées, ouvertes à tous dans une démarche de dialogue continu avec les acteurs du marché » a déclaré Thierry Trouvé, Directeur Général de GRTgaz.
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