Electrolyseurs
Cipher Neutron : rendement record pour cet électrolyseur AEM
Cipher Neutron affirme avoir atteint une efficacité record pour ses électrolyseurs à membrane échangeuse d'anions (AEM). Avec 41,75 kWh consommés par kilogramme d’hydrogène produit, la technologie développée par la startup canadienne réduirait drastiquement le coût de l’hydrogène vert.
Désormais, les recherches autour des électrolyseurs sont principalement axées autour de l’amélioration de leurs performances. Que ce soit la prise en compte de l’intermittence de l’alimentation par des énergies renouvelables, ou la diminution de l’électricité consommée ; l’objectif est de faire baisser les coûts (investissement, maintenance, fonctionnement) de production de l’hydrogène vert.
Avec son nouvel électrolyseur à membrane échangeuse d’anions, Cipher Neutron frappe un grand coup, le plaçant d’emblée comme le deuxième plus performant dans la catégorie des électrolyseurs à basse température. Avec 41,75 kWh consommé par kilogramme d’hydrogène produit, il n’est devancé que par le modèle des australiens Hysata (Enapter leader sur le marché AEM annonce 53,3 kWh). À ce jour, seuls des électrolyseurs à oxyde solide à haute température utilisant la chaleur fatale d’une installation font mieux.
Pour atteindre cette efficacité record (94,36 %), Cipher Neutron s’appuie sur quatre innovations : une conception unique du champ d’écoulement qui « garantit un débit d'électrolyte optimal et une évacuation rapide des gaz, réduisant ainsi les pertes d'énergie et améliorant l'efficacité », des revêtements exclusifs qui « améliorent les performances électrochimiques en assurant une pénétration profonde du catalyseur et une conductivité élevée », des techniques avancées de compression cellulaire qui augmentent « l’efficacité du contact et réduisent la résistance » et une réduction des espaces intercellulaires qui « minimise la distance entre les électrodes, conduisant à une efficacité et des taux de réaction plus élevés ».
Enregistrés sur une pile de 10 kW, les résultats collectés doivent désormais être confirmés et analysés, avant mise en œuvre dans un électrolyseur AEM de plus grosse taille.
Désormais, les recherches autour des électrolyseurs sont principalement axées autour de l’amélioration de leurs performances. Que ce soit la prise en compte de l’intermittence de l’alimentation par des énergies renouvelables, ou la diminution de l’électricité consommée ; l’objectif est de faire baisser les coûts (investissement, maintenance, fonctionnement) de production de l’hydrogène vert.
Avec son nouvel électrolyseur à membrane échangeuse d’anions, Cipher Neutron frappe un grand coup, le plaçant d’emblée comme le deuxième plus performant dans la catégorie des électrolyseurs à basse température. Avec 41,75 kWh consommé par kilogramme d’hydrogène produit, il n’est devancé que par le modèle des australiens Hysata (Enapter leader sur le marché AEM annonce 53,3 kWh). À ce jour, seuls des électrolyseurs à oxyde solide à haute température utilisant la chaleur fatale d’une installation font mieux.
Moins onéreux que les électrolyseurs PEM et plus efficace que les électrolyseurs alcalins
Ces résultats sont particulièrement intéressants, car la technologie des électrolyseurs AEM est très récente, le marché étant dominé par les échangeurs alcalins ou à membrane échangeuse de protons (PEM). Ne nécessitant pas de catalyseurs dérivés ou proche du platine (c’est le cas des modèles PEM) et avec un coût de production proche des électrolyseurs alcalins, mais avec une efficacité très supérieure ; les électrolyseurs AEM ouvrent de nouvelles perspectives quant à l’évolution, à moyen terme, des prix de l’hydrogène vert.Pour atteindre cette efficacité record (94,36 %), Cipher Neutron s’appuie sur quatre innovations : une conception unique du champ d’écoulement qui « garantit un débit d'électrolyte optimal et une évacuation rapide des gaz, réduisant ainsi les pertes d'énergie et améliorant l'efficacité », des revêtements exclusifs qui « améliorent les performances électrochimiques en assurant une pénétration profonde du catalyseur et une conductivité élevée », des techniques avancées de compression cellulaire qui augmentent « l’efficacité du contact et réduisent la résistance » et une réduction des espaces intercellulaires qui « minimise la distance entre les électrodes, conduisant à une efficacité et des taux de réaction plus élevés ».
Enregistrés sur une pile de 10 kW, les résultats collectés doivent désormais être confirmés et analysés, avant mise en œuvre dans un électrolyseur AEM de plus grosse taille.
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