Camion à hydrogèneAbonnés
Camion hydrogène : pour Hyundai, la collaboration doit primer sur la compétition

Directeur général de Hyundai Hydrogen Mobility, Charles Cambournac est intervenu dans le cadre des rencontres de la filière organisées par la Fédération Française de Carrosserie (FFC). Sur un marché encore émergent, le constructeur appelle les acteurs à multiplier les partenariats.
Début octobre, la FFC réunissait la filière du transport dans le cadre de rencontres organisées tous les deux ans, en alternance avec Solutrans. L’occasion de parler d’hydrogène avec différents constructeurs, dont Hyundai qui revient sur sa stratégie en Europe.

Le constructeur s’est ensuite orienté vers l’Allemagne, premier marché européen en termes de poids lourds. « Le choix était logique. A l’époque, il y avait aussi des subventions, au même titre que ce que fait l'ADEME aujourd'hui en France » justifie le représentant de Hyundai qui évoque ce qui en fait une étape clé pour la marque.
Quid de la France ?
Début octobre, la FFC réunissait la filière du transport dans le cadre de rencontres organisées tous les deux ans, en alternance avec Solutrans. L’occasion de parler d’hydrogène avec différents constructeurs, dont Hyundai qui revient sur sa stratégie en Europe.
La Suisse pour premier marché européen
En Europe, c’est en Suisse que sont arrivés les premiers camions hydrogène Hyundai avec une flotte qui a récemment franchi le cap des 10 millions de kilomètres parcourus. Un choix que le constructeur justifie par deux critères. « Le premier était notre actionnaire suisse (H2 Energy ndlr), impliqué dans la production et la distribution d’hydrogène. Le second facteur a été une subvention basée sur l’OPEX (coût d’exploitation, ndlr) qui a permis de rendre le modèle économique intéressant à l'époque » a expliqué Charles Cambournac, Directeur général de Hyundai Hydrogen Mobility.
Le constructeur s’est ensuite orienté vers l’Allemagne, premier marché européen en termes de poids lourds. « Le choix était logique. A l’époque, il y avait aussi des subventions, au même titre que ce que fait l'ADEME aujourd'hui en France » justifie le représentant de Hyundai qui évoque ce qui en fait une étape clé pour la marque.
Quid de la France ?
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