Energie
Hydrogène vert : BP se retire du projet H2 Fifty, aux Pays-Bas
BP se retire du projet H2-Fifty à Rotterdam. Son ex-partenaire HyCC lance un nouveau projet, H2Next, tout aussi ambitieux.
BP continue de reculer sur l’hydrogène. Alors qu’il annonçait il y a quelques semaines la dissolution de son équipe mobilité, le groupe britannique décidé de quitter le projet de production d’hydrogène vert H2-Fifty, initialement développé en partenariat avec HyCC dans le port de Rotterdam.
H2-Fifty devait représenter un jalon important dans la stratégie de décarbonation du port, avec une capacité prévue de 250 MW. L’unité aurait pu fournir jusqu’à 20 % des besoins en hydrogène de l’industrie locale. Mais face aux incertitudes sur les investissements et la sécurisation des débouchés, BP a préféré se retirer.
Prévu sur la zone de Maasvlakte, toujours dans le port de Rotterdam, H2Next bénéficiera d’une proximité directe avec les futurs raccordements aux parcs éoliens offshore. Il vise également à mieux s’insérer à un écosystème régional.
La décision finale d’investissement est attendue en 2028 avec une mise en service espérée en 2030.
BP continue de reculer sur l’hydrogène. Alors qu’il annonçait il y a quelques semaines la dissolution de son équipe mobilité, le groupe britannique décidé de quitter le projet de production d’hydrogène vert H2-Fifty, initialement développé en partenariat avec HyCC dans le port de Rotterdam.
H2-Fifty devait représenter un jalon important dans la stratégie de décarbonation du port, avec une capacité prévue de 250 MW. L’unité aurait pu fournir jusqu’à 20 % des besoins en hydrogène de l’industrie locale. Mais face aux incertitudes sur les investissements et la sécurisation des débouchés, BP a préféré se retirer.
Un projet relancé avec H2Next
Si BP ne fait plus partie du projet, le consortium HyCC reste actif avec un nouveau projet, H2Next, dont la capacité de production sera similaire.Prévu sur la zone de Maasvlakte, toujours dans le port de Rotterdam, H2Next bénéficiera d’une proximité directe avec les futurs raccordements aux parcs éoliens offshore. Il vise également à mieux s’insérer à un écosystème régional.
La décision finale d’investissement est attendue en 2028 avec une mise en service espérée en 2030.
