Voiture hydrogène
Un Range Rover Evoque à hydrogène pour le projet Zeus ?
Jaguar Land Rover (JLR) pourrait profiter de l’arrivée de la nouvelle génération du Range Rover Evoque pour lancer sa première voiture à hydrogène.
Dans un article daté du 17 août 2020, Autocar fait suite à une information que nous avions relayée en juin dernier en y apportant quelques précisions. Le projet Zeus, financé à hauteur de 73,5 millions de livres sterling (environ 81 millions d’euros) par le gouvernement britannique, pourrait prendre l’apparence du Range Rover Evoque chez JLR. On savait déjà que ce serait un SUV, un style de véhicules sur lequel le groupe se concentre toujours actuellement, riche de ses dizaines d’années d’expérience en motricité intégrale sur des engins baroudeurs.
Soulignant un projet d’une grande importance pour le groupe d’origine britannique, filiale de l’indien Tata Motors depuis 2008, il a rapporté qu’un concept-car à pile hydrogène fonctionnel pourrait être révélé dans quelque temps. De quoi imaginer un engin sur la base du prochain Range Rover Evoque qui arriverait dans le milieu des années 2020. Une étape qui ouvrirait sur le transfert d’un tel groupe motopropulseur à des SUV encore plus imposants, dont les Range Rover Velar et Sport. Et ce, à l’instar de ce que BMW a imaginé : à partir du SUV BMW i Hydrogen Next. Basé sur le X5,celui-ci portera l’alimentation hydrogène sur les X6 et X7, plus volumineux.
« Nous recherchons les meilleurs systèmes de propulsion, ceux qui ont un impact minimal sur l’environnement », a justifié Nick Rogers. A ce stade de la feuille de route, semble se dessiner une mobilité électrique à batterie de traction pour la marque Jaguar (i-Pace, nouvelle XJ) avec laquelle trancherait une architecture s’appuyant sur l’hydrogène pour la gamme de SUV au catalogue de Land Rover. « L’hydrogène est une application idéale pour les gros véhicules, car plus la voiture est grande, plus vous obtenez des rendements décroissants avec des batteries en raison de leurs poids qui nécessitent beaucoup d’énergie juste pour transporter les packs », détaille Nick Rogers. « Nous pensons qu'il y a une place clé pour l’hydrogène dans notre gamme de véhicules. Nous développons et investissons dans ce domaine, et recevons un soutien exceptionnel pour le faire », a-t-il conclu.
Dans un article daté du 17 août 2020, Autocar fait suite à une information que nous avions relayée en juin dernier en y apportant quelques précisions. Le projet Zeus, financé à hauteur de 73,5 millions de livres sterling (environ 81 millions d’euros) par le gouvernement britannique, pourrait prendre l’apparence du Range Rover Evoque chez JLR. On savait déjà que ce serait un SUV, un style de véhicules sur lequel le groupe se concentre toujours actuellement, riche de ses dizaines d’années d’expérience en motricité intégrale sur des engins baroudeurs.
L’hydrogène pour l’autonomie et l’environnement
Pour JLR, il s’agit de rendre vertueux ses plus gros modèles sans altérer leurs performances en matière de puissance, franchissement, confort, facilité d’utilisation, autonomie et de capacité à tracter une remorque. A la tête de l’ingénierie produit de Jaguar Land Rover, Nick Rogers s’est laissé aller à quelques précisions.Soulignant un projet d’une grande importance pour le groupe d’origine britannique, filiale de l’indien Tata Motors depuis 2008, il a rapporté qu’un concept-car à pile hydrogène fonctionnel pourrait être révélé dans quelque temps. De quoi imaginer un engin sur la base du prochain Range Rover Evoque qui arriverait dans le milieu des années 2020. Une étape qui ouvrirait sur le transfert d’un tel groupe motopropulseur à des SUV encore plus imposants, dont les Range Rover Velar et Sport. Et ce, à l’instar de ce que BMW a imaginé : à partir du SUV BMW i Hydrogen Next. Basé sur le X5,celui-ci portera l’alimentation hydrogène sur les X6 et X7, plus volumineux.
Hydrogène contre batterie de traction
Le scénario envisagé par JLR cherche, un peu sur le tard, à conformer le groupe au plan britannique qui vise à supprimer, à horizon 2035, la vente en neuf de modèles essence ou diesel sur le territoire.« Nous recherchons les meilleurs systèmes de propulsion, ceux qui ont un impact minimal sur l’environnement », a justifié Nick Rogers. A ce stade de la feuille de route, semble se dessiner une mobilité électrique à batterie de traction pour la marque Jaguar (i-Pace, nouvelle XJ) avec laquelle trancherait une architecture s’appuyant sur l’hydrogène pour la gamme de SUV au catalogue de Land Rover. « L’hydrogène est une application idéale pour les gros véhicules, car plus la voiture est grande, plus vous obtenez des rendements décroissants avec des batteries en raison de leurs poids qui nécessitent beaucoup d’énergie juste pour transporter les packs », détaille Nick Rogers. « Nous pensons qu'il y a une place clé pour l’hydrogène dans notre gamme de véhicules. Nous développons et investissons dans ce domaine, et recevons un soutien exceptionnel pour le faire », a-t-il conclu.
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