Hydrogène blanc : tout ce qu'il faut savoir

Nommé également « hydrogène natif » ou « hydrogène naturel », l’hydrogène blanc est une ressource naturelle qui ne résulte pas d’une transformation issue du gaz ou de l’électrolyse.
L’hydrogène blanc est le résultat de trois d'entre eux ont fait l'objet de plusieurs études menées par les scientifiques. Le premier de ces phénomènes se produit lorsqu'une réaction d’oxydoréduction altère des métaux qui contiennent du fer au niveau hydrothermal. Le second se produit quand une eau à forte teneur en éléments tels que du plutonium ou de l’uranium subit une radiolyse. Un rayonnement ionisant peut en effet causer la rupture des molécules d'eau (H2O), scission qui peut provoquer à son tour la libération d'hydrogène naturel.
Le troisième et dernier phénomène se produit lorsque des gaz contenus dans le manteau terrestre s'échappent du milieu dans lequel ils sont contenus.
Les sources océaniques sont pour le moment difficiles à exploiter. Quant à l'hydrogène présent dans des puits naturels, celui-ci est mélangé avec des gaz tels que l'azote ou l'hélium. Pour l'exploiter, il faut donc employer certaines méthodes qui permettent de l'isoler de ces éléments et de procéder ainsi à sa purification.
Selon de nombreux experts, les sources naturelles d'hydrogène blanc seraient assez importantes pour satisfaire les besoins en hydrogène de toute la planète. Cette filière, qui n'en est encore qu'à ses balbutiements, intéresse donc de plus en plus les firmes industrielles et les gouvernements qui tentent de mettre au point des techniques viables pour l'exploiter sur le long terme. En France, diverses sources d'hydrogène blanc ont été détectées dans plusieurs zones telles que la Drôme, la Côte-d’Or, le Cotentin ou encore les Pyrénées.
L’hydrogène blanc est le résultat de trois d'entre eux ont fait l'objet de plusieurs études menées par les scientifiques. Le premier de ces phénomènes se produit lorsqu'une réaction d’oxydoréduction altère des métaux qui contiennent du fer au niveau hydrothermal. Le second se produit quand une eau à forte teneur en éléments tels que du plutonium ou de l’uranium subit une radiolyse. Un rayonnement ionisant peut en effet causer la rupture des molécules d'eau (H2O), scission qui peut provoquer à son tour la libération d'hydrogène naturel.
Le troisième et dernier phénomène se produit lorsque des gaz contenus dans le manteau terrestre s'échappent du milieu dans lequel ils sont contenus.
Les avantages de l’hydrogène blanc
L'hydrogène blanc présente deux avantages de taille par rapport aux autres types d'hydrogène : contrairement à certaines méthodes de fabrication telles que le vaporeformage, sa production ne s'accompagne d'aucune émission de dioxyde de carbone, car il est généré naturellement par la Terre.Où trouver de l’hydrogène naturel ?
L’hydrogène blanc est présent partout sur la planète. On en découvre constamment de nouvelles sources, que ce soit dans des puits naturels (l'exemple le plus connu étant celui du village de Bourakébougou au Mali dont le puits crache depuis une trentaine d'années un gaz contenant plus de 97 % d'hydrogène) ou dans les océans (aussi bien à plusieurs kilomètres qu'à une centaine de mètres de profondeur).Les sources océaniques sont pour le moment difficiles à exploiter. Quant à l'hydrogène présent dans des puits naturels, celui-ci est mélangé avec des gaz tels que l'azote ou l'hélium. Pour l'exploiter, il faut donc employer certaines méthodes qui permettent de l'isoler de ces éléments et de procéder ainsi à sa purification.
Selon de nombreux experts, les sources naturelles d'hydrogène blanc seraient assez importantes pour satisfaire les besoins en hydrogène de toute la planète. Cette filière, qui n'en est encore qu'à ses balbutiements, intéresse donc de plus en plus les firmes industrielles et les gouvernements qui tentent de mettre au point des techniques viables pour l'exploiter sur le long terme. En France, diverses sources d'hydrogène blanc ont été détectées dans plusieurs zones telles que la Drôme, la Côte-d’Or, le Cotentin ou encore les Pyrénées.