Avion à hydrogène
Le Royaume-Uni veut faire décoller l'avion à hydrogène
Le gouvernement britannique lance un premier appel à projet ZEFI (Zero Emission Flight Infrastructure) doté de 3,5 millions d’euros. Objectif : favoriser le développement d’avions à hydrogène en soutenant la conception de nouvelles infrastructures.
Alors que le Conseil Jet Zero, créé pour placer l'aviation britannique (durement impactée par la pandémie mondiale) au cœur du redressement du pays en soutenant les innovations plus écoresponsables, le gouvernement a décidé d’accorder aux entreprises et universités des subventions pour accélérer la mise en œuvre de la dynamique.
Pour cette première phase (ce qui laisse supposer qu’il y en aura d’autres), le gouvernement accordera aux entreprises et aux universités jusqu'à 60 000 euros pour mener des recherches autour de l’aviation à hydrogène et notamment sur ses infrastructures, telles que les points de charge ou les réservoirs de ravitaillement en hydrogène.
Ces « bourses » ZEFI, qui visent à multiplier les initiatives dans le domaine, viennent s’ajouter aux 21 millions d’euros déjà investis par d’autres canaux dans le développement de carburants aviation durables (SAF pour Sustainable Aviation Fuel).
Engagé fortement pour que le transport aérien deviennent neutre en carbone d’ici 2050, le gouvernement britannique est bien décidé à faciliter la prise de leadership sur le segment de l’aviation durable par ses entreprises. Il espère même pouvoir envoyer ses délégués à la COP26 dans des avions alimentés par des SAF.
Grant Shapps, secrétaire d'État aux transports du Royaume-Uni, affirme sans nuance la ligne politique de son gouvernement : « en tant que première grande économie à s'engager à atteindre le niveau net zéro d'ici 2050, nous allons plus loin que n'importe quel autre pays du monde pour réduire les émissions de l'aviation - en fournissant le leadership, le financement et le cadre nécessaires pour mener la charge ».
Alors que le Conseil Jet Zero, créé pour placer l'aviation britannique (durement impactée par la pandémie mondiale) au cœur du redressement du pays en soutenant les innovations plus écoresponsables, le gouvernement a décidé d’accorder aux entreprises et universités des subventions pour accélérer la mise en œuvre de la dynamique.
Pour cette première phase (ce qui laisse supposer qu’il y en aura d’autres), le gouvernement accordera aux entreprises et aux universités jusqu'à 60 000 euros pour mener des recherches autour de l’aviation à hydrogène et notamment sur ses infrastructures, telles que les points de charge ou les réservoirs de ravitaillement en hydrogène.
Ces « bourses » ZEFI, qui visent à multiplier les initiatives dans le domaine, viennent s’ajouter aux 21 millions d’euros déjà investis par d’autres canaux dans le développement de carburants aviation durables (SAF pour Sustainable Aviation Fuel).
Engagé fortement pour que le transport aérien deviennent neutre en carbone d’ici 2050, le gouvernement britannique est bien décidé à faciliter la prise de leadership sur le segment de l’aviation durable par ses entreprises. Il espère même pouvoir envoyer ses délégués à la COP26 dans des avions alimentés par des SAF.
Grant Shapps, secrétaire d'État aux transports du Royaume-Uni, affirme sans nuance la ligne politique de son gouvernement : « en tant que première grande économie à s'engager à atteindre le niveau net zéro d'ici 2050, nous allons plus loin que n'importe quel autre pays du monde pour réduire les émissions de l'aviation - en fournissant le leadership, le financement et le cadre nécessaires pour mener la charge ».
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